Partition
Trois nocturnes à deux voix et accompagnement de piano forte : avec paroles italiennes et paroles françaises / composés et dédiés à Monsieur Crescentini par C. H. Plantade, directeur de la Musique de S. M. le Roi de Hollande, membre du Conservatoire impérial de France, de la Société philotechnique et de la Société académique des enfans d'Apollon
| Titre | Trois nocturnes à deux voix et accompagnement de piano forte : avec paroles italiennes et paroles françaises / composés et dédiés à Monsieur Crescentini par C. H. Plantade, directeur de la Musique de S. M. le Roi de Hollande, membre du Conservatoire impérial de France, de la Société philotechnique et de la Société académique des enfans d'Apollon |
| Auteur | Plantade, Charles-Henri |
| Éditeur(s) |
A Paris: au Magazin de musique et d'instrumens de M.r de Momigny, [1807-1824]
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| Type de document | 1 partition (7 p.) ; 34 cm |
| Formation(s) instrumentale(s) |
3 instrument(s):
2 voix non spécifiées, Piano
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| Langue chantée | Français, Italien |
| Numéro d'édition | 76 |
| Notes | Pièce n° 8 dans le recueil (folios 95-103). Intitulé de l'adresse bibliographique (sous l'étiquette) : A PARIS || Au Magazin de Musique et d'Instrumens de M.r DE MOMIGNY, Boulevard Poissonnière, || près la Rue du Faubourg Montmartre, N° 20. Date selon Dictionnaire des éditeurs de musique français / Devriès, Lesure. Nocturne n° 1 : paroles de Rolli : Que te sert-il d'être si belle, de briller de tant d'appas... ; n° 2 : paroles de Métastase : Ah si j'ai su te plaire, ô toi qui m'es si chère... ; n° 3 : paroles anonymes : Tu lasses ma constance qui cède à ta rigueur... |
| Oeuvre(s) | |
| ID interne | 94068 |
| Cote | Rpg 1303 ; rf |
| PRET EXCLU - Consultation sur demande spéciale (archives@cmg.ch) | |
| Localisation | Dépôt extérieur |
| Notes sur l'ex. | Anciennes cotes : X 3, Ac 4795. Sur le dos de l'ouvrage, en lettres dorées : RECUEIL D'AIRS DE CHANT 10. Page 1, en bas, étiquette avec la mention suivante : A LYON, || Chez CARTOUX, Libraire et || M.d de Musique, || Place de la Comédie, N° 18. On devine le tampon de l'éditeur, en grande partie effacé |